Projet LoCAL multi-pays BOAD/Fonds vert pour le climat : Le ministre Augustin Kaboré satisfait de l’évolution du dossier

Présente au Burkina Faso pour une mission d’information et de sensibilisation, l’équipe de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) a fait le point sur la soumission du projet LoCAL au fonds vert pour le climat au Dr Augustin Kaboré, Ministre de l’Environnement de l’Eau et de l’Assainissement. C’était en présence du Secrétaire général du ministère le Dr. Bouraïma Kouanda et du directeur général du FIE, le Dr Jean Marie Sourwema. 

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Agroécologie : ARFA fait son bilan 2022 et se projette pour 2023  L’Association pour la

L’Association pour laRecherche et la Formation en Agroécologie a tenu sa première rencontre trimestrielle de l’année. C’était les 26 et 27 janvier 2023. L’objectif est de présenter les bilans techniques et financiers de l’année 2022 et les Programmes de Travail et de Budget Annuel (PTBA) de 2023 des différents projets de ARFA.

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PAM: le ravitaillement humanitaire repris au Burkina Faso

Ceci est un communiqué du Programme alimentaire mondial

Le Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM) a repris, le 20 janvier 2023 son assistance alimentaire d’urgence par voie aérienne au Burkina Faso. Cette intervention vise à répondre aux besoins alimentaires et nutritionnelles des femmes, hommes et enfants, dont l’accès à une alimentation saine et nutritive est compromis depuis plusieurs mois en raison de l’insécurité grandissante dans la Région du Sahel.

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Préservation de l’environnement :  Roger Barro engage ses collaborateurs pour 2023

Le Directeur général de la préservation de l’environnement, Roger Barro lance la 1ère session ordinaire de l’assemblée générale 2023 de son département. La direction générale de la préservation de l’environnement (DGPE) veut examiner et valider le rapport annuel de performance 2022, le programme de travail et de budget annuel 2023 et les textes de la cellule sociale de la structure. 

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Burkina Faso-Mali-Niger : Destins croisés pour des agriculteurs et éleveurs fuyant les crises climatiques et sécuritaires

Les effets du changement climatique constituent aujourd’hui l’une des causes majeures de l’exode rural des jeunes au Mali, au Burkina Faso et au Niger. La rareté des pluies, l’amenuisement des pâturages pour les bétails sont entre autres les facteurs de départ de nombreux paysans (agriculteurs et éleveurs) vers des cieux plus favorables à leurs activités ou d’autres. Pendant que les agriculteurs s’orientent vers les sites d’orpaillage, les éleveurs, eux, s’orientent vers des zones de transhumance où l’herbe est plus verte. L’insécurité dans les 3 pays, due au terrorisme, constitue également un motif de départ des populations qui sont empêchées par les groupes terroristes de travailler la terre ou de faire paître leurs troupeaux.

Mais cet exode réserve souvent de mauvaises surprises pour les migrants qui sont souvent confrontés sur leurs terres d’accueil à des situations de racket ou de violence de la part des populations autochtones ou des autorités locales. Enquête transfrontalière du Mali au Niger, en passant par le Burkina Faso.

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