Tchad: Ndjamena touchée par des inondations
Au Tchad, c’est l’angoisse dans plusieurs quartiers de la capitale. Depuis une dizaine de jours, les deux fleuves qui traversent la capitale, le Chari et le Logone, débordent de leur lit, au grand dam des populations riveraines.
Avec RFI
« Depuis 5 heures du matin, l’eau monte. Epn même pas cinq minutes, l’eau était partout. On est obligé de ramasser certaines choses avec la pirogue. On a perdu beaucoup de choses, les habits, les tasses. Tous nos effets personnels sont perdus », raconte Marie-Noëlle.
Les voies bitumées, seuls endroits secs
Face à la catastrophe, l’abbé Madou, qui a ouvert les portes de sa paroisse aux sinistrés, déplore le manque de réactivité des autorités : « Actuellement, on est en train d’évacuer les gens sur la paroisse Walia Goré [de Ndjamena]. Il y a beaucoup d’enfants, beaucoup de femmes au foyer. Avec la police, on est en train de travailler. Le gouvernement n’a pas anticipé les choses à cause de la politique. Cela fait un mois et demi que je l’ai alerté. Chaque fois que je parle aux gens, ils disent : Mon père, on est au dialogue. Voilà comment on est arrivé à cette situation ».
Face à la catastrophe, l’abbé Madou, qui a ouvert les portes de sa paroisse aux sinistrés, déplore le manque de réactivité des autorités : « Actuellement, on est en train d’évacuer les gens sur la paroisse Walia Goré [de Ndjamena]. Il y a beaucoup d’enfants, beaucoup de femmes au foyer. Avec la police, on est en train de travailler. Le gouvernement n’a pas anticipé les choses à cause de la politique. Cela fait un mois et demi que je l’ai alerté. Chaque fois que je parle aux gens, ils disent : Mon père, on est au dialogue. Voilà comment on est arrivé à cette situation ».
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